COMPRENDRE LES SYMPTÔMES EN TANT QUE SIGNAUX :
En fait, chaque trouble physique résulte
d'une inhibition de l'âme.
Il est folie de vouloir soigner le corps sans vouloir la guérir.
D’abord il faut comprendre la signification des mots car ils représentent deux concepts fort différents. Il existe une différence fondamentale entre soigner et guérir, la même qu'entre soi-nier et gai-rire. Soigner, c’est supprimer les causalités du trouble alors que guérir, signifie accéder au sens de la maladie et en comprendre la blessure originelle. Le thérapeute soigne et le patient se guérit !
Ce qu’il convient de faire, c’est donc promouvoir les approches de santé alternatives qui accordent un rôle prépondérant au psychisme et pourfendre la médecine dominante, matérialiste et mécaniste, qui est assez folle pour assimiler l’être humain à une machine sans conscience. Ni hasard, ni fatalité, le trouble physique est justement le message qu’on devrait déchiffrer car la santé de son véhicule corporel dépend avant tout de son bien-être émotionnel, mental et spirituel. Elle est définie (mais là attention) dans notre monde matériel comme un dysfonctionnement d'un organisme, caractérisé par différents symptômes et une certaine évolution dans le temps. La médecine traditionnelle considère que la plupart des maladies seraient multifactorielles et leur occurrence dépendante de l'environnement, du vécu de l'individu, mais aussi des prédispositions que lui confère son patrimoine génétique. Cette version reste simpliste. Et si les maladies étaient signifiantes liées à l'aspect métaphysique (pensées, sentiments, émotions) mais aussi et surtout à cause d’une coupure spirituelle et donc en conclure que la mauvaise santé résulte bien d'une cause intérieure ? Je vous le dis ici : La maladie est une cristallisation massive de l’énergie de Vie en soi et donc dans sa vie extérieure, qui n’est qu’une projection de son vécu intérieur, c’est une évidence. La guérison viendra donc d’un retour à soi-même. Acceptons en prémisse que la maladie ait pour fonction d'attirer notre attention sur un déséquilibre. Ce serait donc un signal que notre corps nous enverrait ? Mais pourquoi ? Regardons les mots de plus près : douleur (souffrance, sensation physique) ; la maladie (altération de la santé) et l'expression : tomber malade qui signifie : chute mais de quoi ? De notre taux vibratoire, de notre fréquence énergétique. De suite, nous constatons une évidence : La douleur, la maladie ne sont que des états d'âme. Changeons les mots, la douleur devient alarme, la maladie l'explication à comprendre pour changer. Ah ! Mais changer quoi ?
Reprenons : Nous nous focalisons presque toujours sur le corps physique en parlant de maladie. Nous pensons qu’il est malade mais c’est là, l’erreur fondamentale. Le corps émet simplement un signal d’alarme par ses symptômes et ses douleurs pour dire que sur les plans subtils, il y a des effets nocifs induits par une ou plusieurs causes psychologiques découlant d’un ou des conflits internes mentaux voire spirituels. La cause provient d’un dérèglement intérieur, d’un état d’esprit erroné. Le vrai remède consiste alors à trouver le ou les facteurs découlant des peurs, de la dualité, du stress, nous coupant du divin en nous.
Convenez que cela change tout !
VOTRE CORPS EST LA DEMONSTRATION VIVANTE
DE L'ETAT DANS LEQUEL SE TROUVE VOTRE ÂME !
Lorsqu'un patient sollicite une séance de soin pour un soucis de santé,
sachez qu’il n’en est que le résultat !
Voici la clef : Vous savez par votre référentiel que la maladie et le mal-être sont, en apparence seulement, des contraires de la santé, du bien-être et que c'est sur votre ordre qu'ils se manifestent dans votre réalité. Vous ne pouvez tomber malade sans, à un certain niveau, vous rendre malade et donc vous pouvez recouvrer la santé. Pour cela, "comprenez que le mot "guérison" signifie « rétablissement du contact divin en vous" mais surtout que le mot « maladie » signifie "information". Il suffit donc de changer, de modifier sa perception et de faire retour à son état naturel. Ensuite, observons nos pensées, contrôlons nos émotions et changeons ! Pourquoi ? Parce que la société a tendance à nous dévorer petit à petit. Nous sommes menés, malmenés (mal menés par le mental). Quel jeu de mots édifiant ! L’Humanité n'est pas malade parce qu'elle a enfreint les lois spirituelles naturelles mais parce qu'elle en a été éloignée. La maladie du corps est une coupure spirituelle, privée du « Souffle de Vie ». Le mental est enseveli sous les interdits, les privations, les anathèmes, les malédictions. Il y a donc coupure spirituelle d’avec la vérité de la Vie. Evoluer, progresser, comprendre et donc s’élever consiste à revenir à cette paix intérieure et à la Vie via le « Soi » mais et surtout en rejetant les dogmatismes des religions (Christianisme, bouddhisme, taoïsme et tutti quanti) qui ne sont qu’hérésie comme d’ailleurs le nationaliste ou le mondialisme. Sortez du système, votre discernement est essentiel et revenez au pur état spirituel qui préserve, harmonise, délivre.
ALLER VERS LA FAUSSE SOLUTION DES MEDICAMENTS
EST-ELLE UNE BONNE CHOSE ?
Big Pharma !
Pour répondre, demandez-vous à qui profite le crime
mais avant gardez à l'esprit ce qui suit !
Quand on met trois médecins autour d'un même malade, on obtient facilement trois diagnostics ou voies thérapeutiques différents voire contradictoires. Pourquoi ? On l'a dit précédemment : La médecine certes, est basée sur des savoirs validés mais elle n'est pas une science exacte. Quand elle atteint ses limites, elle doit accepter de s'ouvrir à d'autres perspectives et méthodes, mêmes empiriques, et à l'intuition du praticien qui sait s'adapter à la singularité du patient, celui-ci ne pouvant être réduit à un élément de statistique ou de cohorte, ni à un numéro de sécurité sociale.
Dans le système médical actuel, personne n'a intérêt à ce que vous restiez en bonne santé.
Des millions de personnes vivent de la maladie, dans l'industrie hospitalière comme dans l'industrie pharmaceutique.
La réponse officielle nous concernant est la suivante : Lorsqu'ils évoquent les pratiques non conventionnelles, ils disent qu'elles sont difficiles, sinon impossibles, à évaluer car relevant du « croire » et non du « savoir » qui constitue le fondement de la médecine » mais ils oublient que le « croire » est souvent une intuition qui se révèle « savoir » plus tard. En outre, de plus en plus de résultats d'essais cliniques contrôlés et d'articles de synthèse sont publiés dans la presse spécialisée mais revenons aux médicaments. Les traitements de la médecine classique se résument en général à attaquer la maladie avec des molécules : la dépression se combat par un antidépresseur ; la douleur ou inflammation par une molécule antalgique ou anti-inflammatoire ; les bactéries par un antibiotique ; les cellules cancéreuses par des traitements antimitotiques ; la faiblesse par un médicament tonique (cardiotonique, veino-tonique), etc. Masquer les symptômes d'une maladie avec des médicaments est une hérésie, de plus, ils programment doucement une autodestruction par effets secondaires, ce sont des poissons ! Il n'existe pas de pilule magique, pas de médicament préventif capable de nous faire garder une bonne santé.
Qu'est-ce qu'un médicament ? C'est une substance qui lorsqu'elle est absorbée dans le corps physique ou organisme vivant, modifie le fonctionnement normal de celui-ci. L'essor de la chimie au début du XXème siècle a donné naissance à une catégorie de médicaments, sans rapport avec la structure d'une molécule naturelle, ce qu'on appelle les "médicaments de synthèse". Ce sont des produits chimiques avec tous ses avantages et inconvénients qui causent plus de victimes que ne le fait le cancer et se classe parmi les dix premières causes d'hospitalisation.
Les médicaments sont généralement produits par des sociétés pharmaceutiques et sont souvent brevetés pour donner au promoteur des droits exclusifs pour les produire, donc des profits ! Il faut le savoir. En français, nous distinguons les mots « drogue » et « médicament », mais ce n'est pas le cas en anglais, où les deux mots se disent « drug ».
Enfin, nous comprenons qu'il est plus nuisible que bénéfique de réprimer
une « maladie » au moyen de médicaments !
LE CADUCEE :
A l'origine, le caducée était celui des vrais guérisseurs.
Il signifiait (guérir le mental) car on savait d'où provenait les maladies !
On est loin, aujourd'hui, de cette notion.
Une santé défaillante n'est pas le fruit du hasard, elle reflète votre attitude !
PRENONS UN EXEMPLE !
Alors, si le système de santé est défaillant, comment et sur quoi agir ?
Nous allons le découvrir dans la rubrique suivante mais prenez en compte cet avertissement :
RAPPEL ET PRECISIONS AVANT D'ALLER PLUS LOIN :
Ici, il n'est pas question de se substituer au corps médical (chasse gardée), ou encore d'appliquer un traitement médical quelconque (qui n'est pas de notre domaine) mais après un bilan énergétique, d'harmonisation des plans subtils de l'être par Reiki. Ce n'est pas le praticien qui reste un intermédiaire) qui intervient dans le soin mais l’énergie de Vie de la "Source Divine" elle-même.
Alors, médecine douce ou pas ?
CONSTAT
Depuis leur apparition dans les années 70, les médecines dites douces ont été cantonnées dans la case « médecines parallèles » qualifiées au choix, de naturelles ou de non-conventionnelles. Pourtant, aujourd'hui, elles gagnent du terrain et se présentent même comme une médecine du futur par rapport au système de santé actuel. Aujourd'hui, l'OMS les considère comme étant la « médecine traditionnelle prometteuse ». Il faut savoir que les médecines douces ont été reconnues par la loi en 2002. Une étude a démontré que les patients de cette médecine douce verraient leur système immunitaire s'améliorer de 30 %. Résultat : ils tombent (descendre) moins souvent malades, sont moins stressés et prennent moins de médicaments.
Mais revenons au Reiki et agissons donc dans la paix de l'esprit en bon praticien énergétique au service d'un patient demandeur sans polémiquer car nous ne diagnostiquons rien, c'est la Divinité elle-même qui le fait. Quant au traitement, c'est encore elle qui prend la main et agit là où il le faut et comme il le faut. Dès lors, le pourcentage explose !